Douceur aérienne
Il y a peu, ma femme a gagné un vol en montgolfière. Elle est addict aux jeux-concours et y perd un temps fou chaque jour mais, parfois, il lui arrive de gagner. Souvent des trucs dont on ne sait pas quoi faire (nous avons ainsi présentement trois appareils à raclette à la maison), mais il arrive aussi parfois que le lot soit intéressant. Mais je m'égare. Bref, comme il était hors de question pour elle de vivre cette expérience seule, je l'ai évidemment accompagnée. Et c'est comme ça que, le week-end dernier, j'en suis venu à faire en sa compagnie un vol en montgolfière. Celui-ci s'est déroulé à Bordeaux. Et même si ce n'est pas le genre d'activité dont je raffole, j'ai tout de même été enchanté par mon expérience. C'est une bonne manière de se distancier du monde, je trouve. Moi qui ai parfois tendance à me noyer dans un verre d'eau, il m'a suffi de grimper à bord de cette montgolfière et de survoler lentement le paysage pour me rendre compte que tous ces petits tracas qui parsèment le quotidien sont finalement absurdes. Depuis les hauteurs, le monde se montre tel qu'il est, à la fois énorme et magnifique. Dans ce décor, les hommes ont la taille de fourmis et les villes ne sont guère plus que des taches dans le paysage. Là-haut, on se rend compte que l'être humain est au fond très peu de choses. Nous sommes des moucherons au regard de l'histoire du monde ; nos plus grands gratte-ciel ne sont que des châteaux de carte qu'un coup de vent suffirait à balayer. Le monde, tel qu'on peut l'observer depuis les cieux, existait bien avant que l'homme ne soit, et demeurera bien après qu'il se soit éteint. Tout cela peut sembler évident, à première vue, mais c'est une chose que de savoir que nous sommes des poussières en cet univers. Et c'en est une toute autre que de le sentir au plus profond de soi. C'est une aventure presque mystique, en fait. Si vous aussi vous avez tendance à vous tracasser pour bien peu de choses, ou à considérer l'homme comme une chose importante, je vous recommande de tester le vol en montgolfière. Je vous mets en lien celui que j'ai fait à Bordeaux ; on en trouve apparemment un peu partout ailleurs. Plus d'information sur cette expérience de ce baptême en montgolfière en surfant sur le site web de l'organisateur.
L’importance de l’éducation
Pour expliquer ces différentes parties de l’âme, Platon s’est d'abord intéressé à trois classes dans une société juste: gardiens, auxiliaires et ouvriers. Selon Platon, le résultat son fils devrait gouverner les décisions d’un individu; l'esprit devrait aider la raison; et l'appétit devrait obéir. En maintenant la relation entre ces trois parties dans le même esprit droit, un individu obtiendra justice individuelle. De même, Platon croyait que dans une société parfaite, la raison serait représentée par une classe de gardiens (dirigeants dirigés sur la base de la philosophie, société à laquelle suivre cordialement); l’esprit serait représenté par la classe auxiliaire (soldats qui obligerait le reste de la société à obéir à la classe des Gardiens); et l'appétit serait représentés par les ouvriers, les ouvriers et les marchands de la société. Platon a beaucoup insisté sur le rôle de l'éducation et l'a considéré comme l'un des les pièces les plus importantes dans la création d'un état de santé. Platon a vu la vulnérabilité de l'esprit d'un enfant et a compris à quel point il était facile de le mouler. Il croyait aux enfants Il faut apprendre dès le début à toujours rechercher la sagesse et à mener une vie vertueuse. Platon est même allé jusqu'à créer des instructions détaillées sur ce qui exerce une femme enceinte femme pourrait effectuer afin qu'elle ait un fœtus en bonne santé et quels types d'art et exercer les enfants doivent se plonger dedans. À Platon, qui a considéré le Les Athéniens doivent être corrompus, facilement séduits et crédules à la rhétorique, à l'éducation était essentiel pour avoir une société juste.